vendredi 9 janvier 2015

Mortalité précoce : le travail de nuit remis en cause.


Après des recherches sur plusieurs années des chercheurs de l’université d’Harvard,  les résultats ont été clairs, le travail de nuit augmente le risque de mortalité, l’étude ayant été faite sur près de 75 000 infirmières. Une étude à long terme en effet cara déjà commencé depuis 1988 jusqu’à aujourd’hui.

Bien que chacun l’a déjà su ou du moins l’a déjà suspecté dans son petit coin de sa tête, le travail de nuit est nuisible à la santé que l’on veuille ou non. La nuit est la période fait pour dormir.  L’étude a établi que les plus touchés de  notre système seraient le système cardiovasculaire et respiratoire et cela se ferait ressentir au bout de 6 ans de travail de nuit. Celle ayant travaillé depuis 15 ans ont même augmenté leur risque de maladies cardiovasculaire  à 23 %.

Rappelons également que l’Organisation Mondiale de la Santé avant déclaré en 2007 que  était un facteur probable de cancer mais selon l’étude, c’est surtout le cancer du poumon qui est en jeu. En France près de 3,5 millions travaillent de nuit notamment dans le secteur tertiaire dont 42 % du secteur privé et 30 % issu du public.

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